Newsletter 37 – 11/2015 – J’en ai marre de mon job

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	Quoique vous puissiez rêver de faire,… Commencez maintenant !	Mardi 24 novembre 2015 Temps pluvieux (9°)

EST-CE QUE CELA VOUS INSPIRE ?

Le courage consiste à faire ce dont vous avez peur…
Car il n’y a pas de courage sans crainte.
Eddie Rickenbacker

Marre de mon travail

JE NE SAIS PAS CE QUI ME RETIENT…

J’en ai marre de mon job ! 5 étapes pour y voir clair !

La première chose à faire quand on en a marre de son boulot, de manière durable bien sûr, c’est de se poser pour faire le point. En effet, si vous êtes pris dans le tourbillon du métro-boulot-dodo, tous les jours se répètent les mêmes ennuis, les mêmes obstacles, les mêmes difficultés bouffeuses de temps et d’énergie.

Et tous les jours, le même sentiment de ras-le-bol se répète, vous devenez irritable, finissez par tout voir en noir et vous avez envie de tout envoyer péter en bloc, d’un coup.

La tentation de la démission se fait jour, vous commencez à vous disputer de plus en plus avec vos collègues, vous explosez avec votre patron, vous vous mettez en colère en réunion ou pire, vous fondez en larmes pour une bêtise.

Il est temps de faire quelque chose !

Mais avant de tout envoyer valser d’un coup et de vous retrouver sans rien – et non pas au chômage car vous aurez démissionné et donc pas d’Assedic ! – il vaut mieux commencer à réfléchir sérieusement au problème.

Voici quelques étapes que je vous recommande de suivre…

UN : Faire le point sur votre ras-le bol
En réalité, de quoi en avez-vous marre exactement ? Votre ras-le bol est-il dû à votre style de vie, à votre entreprise, à votre métier, à votre entourage professionnel ? Il va être important de distinguer les aspects les uns des autres, afin d’envisager les solutions appropriées. Ce n’est pas la même chose d’en avoir marre du métro-boulot-dodo, de ne pas aimer son métier ou de ne plus supporter son chef et ses collègues…

Faites le point sur ces doutes en relisant « savoir que faire si vous en avez marre du boulot ».

DEUX : Mettre noir sur blanc ce que vous n’accepterez plus.
Ce que vous ne voulez plus jamais avoir à supporter dans votre prochain job ou dans votre prochaine étape de vie. Il est clair que le choix des solutions à apporter à votre problème ne sera pas le même. Si vous ne supportez plus le métro-boulot-dodo et que votre prochain emploi vous oblige encore une fois à avoir de longs trajets en transports en commun, vous ne solutionnerez pas le problème de cette manière. De même, si travailler avec des collègues ou avec un chef sur le dos n’est plus possible pour vous, retravailler dans une autre entreprise n’apportera pas de soulagement à votre ras-le bol, les mêmes causes produisant les mêmes effets.

TROIS : Dresser la liste de ce que vous aimez dans le travail, dans ce métier dans cet emploi.
En effet, il serait dommage d’envisager de vous reconvertir si vous aimez encore ce métier et que seul votre entourage professionnel ou votre trajet vous insupporte. Par contre, si vous vous rendez compte qu’en fait, tout ce qui vous est insupportable est lié à votre profession, tel un boulanger qui ne supporterait plus de faire du pain, ou un conseiller qui ne supporterait plus les clients, il est clair qu’il faudra envisager non seulement, de changer d’entreprise mais surtout de changer de métier !

QUATRE : il va falloir établir ce que vous voulez désormais, comme conditions de vie et de travail.
Je ne veux plus travailler du tout !!! Et bien pourquoi pas, comme disait la chanson « le travail c’est la santé, ne rien faire c’est la conserver ! ». Si vous en avez les moyens, des super économies devant vous, un héritage ou si encore vous venez de gagner au loto, allez-y, avec modération et stratégie ! Un congé sabbatique est toujours possible de toute façon ! Mais toute blague à part, prenez le temps de marquer ce que vous souhaitez à l’avenir, même si ça vous paraît impossible dans un premier temps ! Il est nécessaire de s’offrir des perspectives et plus celles-ci sont ouvertes et ambitieuses, plus vous avez de chance d’en prendre le chemin.

CINQ (le plus important) : Faire le point sur vos compétences.
Ce que vous savez faire et êtes capable de faire ! Je sais que quand on a le nez dans le guidon, ce n’est pas forcément évident de reconnaître ce qu’on sait faire, surtout si on subit un harcèlement ou un management par le stress. Or, on n’hésite jamais à pointer ce qui ne va pas… et bien plus rarement ce qui va. Difficile donc de savoir ce qu’on vaut.

Cette étape est cependant la plus importante et c’est aussi celle qui peut vous demander le plus de temps : vous allez devoir rechercher TOUT ce que vous êtes capable de faire ! Y compris dans vos loisirs ! Listez toutes ses formes de compétences permet à la fois de réhausser l’estime de soi en réalisant toutes ses capacités, de préparer un entretien d’embauche car la liste de nos savoir-faire en dit long sur ce que nous sommes.

Je ne saurais trop vous recommander, pour cette étape, de faire un bilan de compétences. Cette prestation à laquelle vous avez droit, que vous soyez salarié ou demandeur d’emploi fait un bien fou. Vous allez redécouvrir qui vous êtes et ce que vous valez, ce qui est bien au-delà de ce que vous manifestez dans le cadre de votre emploi actuel, qui peut même être l’inverse de ce que vous êtes vraiment !

Quand vous aurez procédé à ces 5 étapes, dans l’ordre que vous voulez, des pistes de solutions se dégageront.

artisan

ILS CROYAIENT QUE C’ETAIT IMPOSSIBLE,

ALORS ILS L’ONT FAIT.

De cadre sup’ à artisan, le choix d’une vie !

Après toute une carrière de cadre, Jean-René Bulteau, 50 ans, a changé de vie. Un bouleversement qu’il assume à 200 %.

Lorsqu’il circule dans sa camionnette d’artisan à Sarcelle, Jean-René Bulteau est loin, très loin des réunions de cadre sup’ qui jalonnaient sa vie depuis 30 ans. Après une carrière dans le génie électrique à des postes de responsable au sein de grands groupes, puis un recrutement chez Veolia dans le sud de la France, ce manager de 50 ans pouvait envisager une fin de carrière bien remplie. « Mais c’est ce dernier poste qui a tout fait basculer : suite à une erreur de recrutement, nous étions deux pour un seul poste. Avec mon épouse, mes enfants, nous avions quitté Paris pour le sud, mis en vente notre maison… Face à cette situation ubuesque, j’ai préféré dire non à ce poste. »

Le retour au bout de quelques mois à Paris se fait dans la douleur : « J’ai découvert le chômage, les difficultés financières. Une véritable remise en question ! Et le déclic : la volonté de connaitre les coulisses des métiers des grands groupes pour lesquels j’ai travaillé. J’ai alors découvert toutes les problématiques de l’eau. Pendant un an, seul, j’ai réalisé une étude de marché approfondie, qui m’a permis de prendre conscience des opportunités d’un marché en plein développement : la récupération et valorisation des eaux pluviales. »

Fin 2009, Jean-René saute donc le cap de la création en créant, à Sarcelle, Global Confort, société artisanale qui propose des solutions de récupération d’eau de pluie pour les collectivités locales, les particuliers et les industriels. Coup de pouce : Jean-René décroche un prêt d’honneur d’une association locale, un Prêt à la Création d’Entreprise Oséo de 7 000 euros et contracte un emprunt pour l’achat de son véhicule. « Il y a 30 ans, après mon DUT, j’avais passé un CAP bâtiment, dans l’idée que cela pourrait me servir un jour si je voulais créer une entreprise. Cela s’est finalement réalisé ! En revanche, je n’ai suivi aucune autre formation : j’ai tout appris sur le secteur et le métier seul, durant mon année d’étude de marché, confie ce jeune patron de 50 ans. Après un an, je n’ai pas encore pu embaucher. Une création, c’est une grande liberté, mais qui se paie au prix fort. Je n’ai plus d’assistante derrière moi qui me prépare mon parapheur ! Pour m’aider, je délègue la comptabilité afin de me consacrer sur le développement de mon entreprise. Je découvre le monde de l’artisanat avec admiration : c’est passionnant, très riche, très dur aussi. Je pense qu’il faudrait davantage d’union entre les artisans. » Avoir travaillé dans un grand groupe, de l’autre côté de la barrière, lui donne certains réflexes qui pourraient faire école : « En nous regroupant, nous serions plus forts pour répondre à des appels d’offres, réaliser des achats groupés. Mais avec l’arrivée de nouveaux profils, c’est en train d’évoluer. » Depuis sa création, Jean-René a reçu deux offres d’emplois conformes à son ancienne vie de manager : « Je les ai déclinées. Aujourd’hui, je me sens comme un vrai patron, non pas nommé par un conseil d’administration, mais qui investit son propre argent, sa propre vie dans son affaire ! »

Valérie Talmont – Les Echos, Business – 11 mars 2011

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DESIR DE REUSSIR ?

LE COACHING
GREAT JOB
COACHING PROFESSIONNEL

On ne peut rien apprendre à un homme,
on peut seulement l’aider à expérimenter
ce qu’il a en lui-même. Galilée

Cultivez votre
présentation heureuse

Ayez confiance
en votre potentiel

Sortez du jugement
de vous-même,

Affirmez-vous
par vos objecifs

LA QUESTION PROFESSIONNELLE
ME MINE…

Comment trouver un nouvel emploi ?
J’ai une mission « impossible » à remplir…
Personne ne comprend mon choix d’orientation !
Mon boulot est en train de me foutre à terre !
Et si je dis non, qu’est ce qui va se passer ?
Les tensions deviennent insupportables !

LE COACHING GREAT JOB

vous aide à rester vous-même face à la destinée que vous construisez, indépendamment du poids des nombreux conseils, souvent « conventionnels » qui peuvent se révéler fatigants et contradictoires ! Etablissons l’inventaire de toutes vos forces et talents… indépendamment de toute pression ou croyance, afin de bâtir votre plan d’action. Vous pouvez alors construire votre projet.

èRechercher un emploi : identifiervos lignes de force (talents, motivations), leur cohérence et les déploiements possibles. Bâtir votre réseau de contacts, rédiger votre CV, se préparer aux entretiens.

èQuel métier pour mon avenir ?: définir au mieux vos forces et envies singulières, afin de demeurer dans un projet qui vous appartienne et qui vous révèle ! Trouver sa voie (études, métier, choix de vie personnelle et professionnelle) et se sentir libre de choisir (avec/face aux parents,…).

èMener des projets, s’affirmer: s’affirmer passe par l’action : créer, mener à bien un projet à fort enjeu, organiser un événement, construire un projet, monter une expédition, réussir une création associative, etc. ! Oser ! S’intégrer dans un groupe humain (entreprise, équipe sportive, école, université, vie associative).

èVivre sa différence : vous vous sentez différent ? Tant mieux ! Vivez votre différence. Comment être soi ? Comment vivre l’équilibre entre exister et respecter, entre être vu(e) autrement que par sa seule différence et ignoré(e) à cause d’elle ! S’affirmer différent est un objectif qualitatif atteignable, une performance.

LES PRESTATIONS

A VOTRE SERVICE

Formule« Faites le point » (4 séances),
- Répondre à vos besoins ponctuels et aux questionnements de court terme
Formule« Du rêve à l’action » (8 séances),
- Etre accompagné dans vos périodes de transition et de changement
Formule« Concrétisation » (12 séances),
- Construire un projet répondant à vos aspirations, sur du long terme