Newsletter 35 – 09/2015 Conduire mon projet jusqu’au bout !
Si vous n’arrivez pas à lire correctement ce message, cliquez ici. | ||
Quoique vous puissiez rêver de faire,… |
Mardi 22 septembre 2015 |
EST-CE QUE CELA VOUS INSPIRE ?
En vérité, le chemin importe peu, la volonté d’arriver suffit à tout.
Albert Camus
JE NE SAIS PAS CE QUI ME RETIENT…
Les 10 raisons qui vous empêchent de concrétiser votre projet !
Demandez donc à un enfant quels sont ses rêves ! Assurément il vous parlera de ses envies d’être président de la Rébublique, hotesse de l’air, pompier, dresseur de lions, pilote d’avion, acteur de cinéma,… Et curieusement, plus cet enfant grandit, plus ses ambitions s’évaporent comme neige au soleil… Clairement, certains rêves s’effacent pour faire place à d’autres devenus plus intéressants ; et beaucoup s’effondrent aussi car ils ne correspondant pas à la logique de carrière, à l’attente sociale et familiale,… sans oublier les craintes intérieures cultivées face à la peur de l’échec, les doutes,… En réalité, ces nouveaux rêves ne sont plus alimentés par la joie et la passion !
Vous commencez à saisir pourquoi vous renoncez à vos réelles envies ! Je vous livre ici 10 attitudes déterminantes qui vous permettent de vous réaliser !
1 – Savoir exactement ce que vous voulez
Si vous ne savez-pas exactement ce que vous voulez, vous laisserez la vie couler, jour après jour et mois après mois, sans jamais avoir de projets concrets, sans jamais donner à votre vie la direction que vous voudriez ! Vous laissez votre vie aux mains du « hasard », et votre manque de clarté dans votre vision en général ne permet pas que vous preniez une direction spectaculaire ou particulièrement alignée avec ce que vous souhaitez réellement. Nous sommes les créateurs de nos vies, et cela avant tout par la pensée. Sans pensée intentionnellement dirigée vers ce que l’on souhaite, et sans pensée volontairement claire, tout est au final « fouilli », et rien ne peut prendre place. Ceux qui réussissent sont ceux qui ont les idées claires, et ceux qui savent ce qu’ils veulent.
2 – Sortez de votre zone de confort.
La chose la plus facile au monde, c’est de rester dans sa zone de confort : c’est à dire, dans ce qui est connu et maîtrisé, dans ce qui ne fait pas peur, et aussi… dans ce qui ne demande pas d’effort. Malheureusement (ou heureusement !!), pour réaliser votre rêve, vous allez devoir sortir du « connu » puisqu’un rêve, par définition, n’est pas encore matérialisé, il n’existe pas encore, excepté dans votre imaginaire. Ainsi, concrétiser un projet vous appelle à changer des habitudes, voire des certitudes rassurantes ! Et voici une des raisons majeures de l’échec de vos projets : ne pas oser ; très peu de gens accèptent de sortir de cette fameuse zone de confort, qu’il s’agisse de perdre du poids, de changer de région, de changer physiquement, de s’offir les conditions pour améliorer, de poser des limites dans son travail ou d’en changer… Sans cet effort nécessaire, rien ne change !
3 – Appuyez vous sur votre courage.
Avoir un ou plusieurs rêves, et se lancer dans leur réalisation, demande de prendre des risques, de réaliser des choses qui n’ont jamais été réalisées auparavant, d’accepter l’incertitude, et de ne pas avoir peur de l’échec. En plus, étant donné que nous sommes tous uniques, cela veut dire que jamais personne n’aura fait exactement ce que nous faisons ou allons faire, exactement de la même manière que nous. Et comme nous avons toujours tendance à systématiquement nous comparer aux autres, et à rechercher des références, rechercher à appartenir à un groupe, à ressembler aux autres,… il devient extrêmement difficile de réussir à créer ce que vous voudriez profondément par peur justement de votre différence. Beaucoup se contentent donc de reproduire ce qui a déjà été fait, et très peu osent vraiment se différencier.
4 – Vous ne plairez pas à tout le monde !
La critique, vous connaissez ? Et bien, à partir du moment où vous voudrez réaliser vos rêves, ou quoique ce soit qui vous importe dans la vie, vous serez critiqués. On fera des commentaires sur vous, sur vos choix, on vous dira que vous auriez plutôt dû faire comme ci, ou comme ça, que ce projet n’est pas viable, que vous échouerez, que votre idée est stupide. Et une fois votre projet réalisé, on vous critiquera encore, on vous jugera, on ne sera pas d’accord avec vous, on essayera de vous mettre des bâtons dans les roues. Qui aime ça ? Personne. Mais si vous voulez réaliser vos rêves, alors il faut accepter de passer par là. Et c’est difficile si vous ne cultivez pas une attitude positive. Alors beaucoup n’arriveront jamais jusqu’à ce stade, préférant ne rien faire, pour ne pas être critiqué.
5 – Croyez en vous-même, plus que quiconque !
Vouloir réaliser ses rêves, est parfois un grand moment de solitude. Vous êtes parfois les seuls à vous comprendre. Les seuls à comprendre la portée de votre vision, la viabilité de votre projet, l’importance de votre mission et de vos choix. Il ne faut pas s’attendre à ce que votre entourage se mette à vos pieds et vous soutiennent,… C’est rarement le cas. Vos amis ? Soit vous avez de la chance, et ils sont très encourageants, pas du tout jaloux, et intéressés par tout ce que vous avez à apporter au monde, soit ils deviendront soudainement des fantômes, dès que vous aurez pris une autre route que la leur, et osé faire des choses qu’ils n’ont jamais osé. En réalisant vos rêves, vous deviendrez un miroir dans lequel il ne sera pas facile, pour la plupart de ceux qui vous entourent, d’en accepter le reflet. Voir quelqu’un qui réussi, déclenche en nous deux types de réaction : soit l’on devient super motivé à son tour, et inspiré à faire de même, soit notre égo en prend un coup, et on préfère se dire que c’est cette personne qui a un problème et pas nous, se trouver des excuses, ou tout simplement l’ignorer, pour éviter à nouveau de voir ce reflet douloureux un jour.
6 – Vous allez travailler dur.
Beaucoup pensent, que réaliser ses rêves est une question de chance, que cela arrive du jour au lendemain, et que c’est « facile » pour les « heureux élus qui auraient cette chance ». Les succès qui arrivent du jour au lendemain sont très rares, et sont souvent des « mythes ». Pour réussir, il faut travailler dur, car même si un succès arrivait du jour au lendemain, pour le conserver, il faudra travailler dur, raison pour laquelle beaucoup de personnes qui effectivement deviennent célèbres du jour au lendemain ou ont des opportunités soudaines, s’écroulent peu de temps après, (comme les idoles de la télé réalité ou les gagnants à la loterie), car ils n’ont pas la mentalité et la force nécessaire pour fournir le travail qu’il faut fournir pour réaliser ses rêves et ses projets.
7 – Alimentez votre « possibilité de la faire ».
Le succès n’est jamais de la chance. Il y a de nombreux exemples qui le prouvent : soit des personnes parties de rien, qui ont réussi à bâtir des empires, soit des personnes parties avec tout, qui n’ont rien réussi à réaliser, voire, qui ont été malheureuses toute leur vie. Au contraire, bon nombre d’enfants de personnalités connues ou riches l’ont très mal vécu, et auraient tout donné pour naître dans une famille « normale ». Ce qui nous paraît comme des « chances » chez les autres n’est pas toujours vu de la même manière par ceux-ci. Vous avez certainement quelque chose dans votre vie (et même plusieurs) qui sont des « chances » pour d’autres qui ont moins que vous. Nous pouvons tous réaliser nos rêves, à partir de ce que nous avons.
8 – Acceptez de faire des sacrifices.
Être médecin nécessite plus de 10 ans d’études, perdre du poids amène à faire le choix de ne plus manger ce que l’on aimerait…, changer de région ou de cap appelle à renoncer à des amis, des relations, certains acquis…Soyez prêt à faire des sacrifices : si vous avez bien défini votre projet, la motivation vous permettra de dépasser cet obstacle. En revanche, si vous vous focalisez sur le résultat, et uniquement sur le résultat, sans les sacrifices à réaliser, l’objectif sera difficile à atteindre ! Alors, acceptez les sacrifices à conduire.
9 – Vous êtes responsable de votre vie.
Pour réaliser ses rêves, il faut comprendre que l’on est entièrement responsable de sa vie. Celui qui réussit ne blâme jamais les autres, pour ce qu’ils ont de plus, pour ce qu’ils ont fait, ou pas fait. Celui qui réussit fait toujours avec ce qu’il a, où il est, au moment où il est. Il ne se dit jamais que c’est normal qu’il n’y arrive pas, parce qu’un tel lui a fait ça ou « parce que lui il n’a pas eu la chance de (…) ». Donnez-vous les moyens. IAvancez, pas à pas. Faites toujours de votre mieux. Allez de l’avant, cultivez la curiosité. Restez positif et entourez-vous de gens positifs. Vous aurez compris que les râleurs et les blâmeurs créent eux aussi leur réalité et vous n’aurez rien à gagner à en faire partie.C’est plus facile de blâmer l’état, le gouvernement, sa famille, ses enfants, son conjoint, son pays, pour toutes les choses que l’on ne fait pas, que de se demander comment on pourrait réellement faire ces choses, de manière positive, avec ce que l’on a. Car il y a toujours un moyen.
10. Ressentez le but de votre vie !
Avoir la force de réaliser ses rêves, c’est ressentir une passion forte, un but vers lequel vous êtes attirés. Certaines personnes vivent toute une existence sans ressentir cette sensation de « but », alors que vous ressentez cette force invisible et intérieure qui vous pousse à agir. Vos intuitions sont un excellent guide, qui vous permet justement de voir dans quelle direction vous devez aller, et de comprendre quelle est votre mission, votre but sur Terre. Vos passions sont toujours liées à votre « mission ».
Lorsque l’on voit tout ce qu’il faut arriver à faire pour réaliser ses rêves, on comprend mieux pourquoi ce n’est pas donné à tout le monde. C’est loin d’être une question de « chance » ou de malchance, mais réellement d’accepter tout le travail à faire, sur soi, et avec les autres.
Heureusement que tous les succès de ceux qui ont osé peuvent nous donner confiance ! N’hésitez pas à travailler avec moi sur la mise en place de votre projet !
Jean Lefebvre
contact@curieuse-agence.com
ILS CROYAIENT QUE C’ETAIT IMPOSSIBLE,
ALORS ILS L’ONT FAIT.
Heureux avec 800 € par mois
« C’est devenu presque un jeu : comment m’y prendre pour dépenser moins encore » : Hervé René Martin s’amuse de ce défi tout en sirotant son café. Devant ses fenêtres, des forêts denses de châtaigniers et conifères typiques du paysage de Saint-Étienne-de-Serre (Ardèche). L’intérieur de sa maison dégage une senteur de bois et de foins fraîchement coupés, offrande des murs construits en terre et paille.
Il y a seize ans, Hervé, fort du succès de son essai La Mondialisation racontée à ceux qui la subissent (Climat, 1999), court les conférences et pérore sur la décroissance économique. Mais que sait-il, au fond, de cette réalité qu’il préconise ? À 55 ans, celui qui a emprunté avec appétit toutes les autoroutes de la société de consommation, exercé plus de vingt métiers, couru la gueuse, roulé en BMW, publié des romans érotiques, décide de changer de vie. L’aboutissement d’un long cheminement. Déjà, à 40 ans, alors à la tête d’un cabinet d’assurances, il s’était senti pris au piège des crédits qui rognaient sa liberté. Il avait vendu et remboursé. Commence alors une vie sans revenus fixes avec une visibilité économique à six mois. « La peur, je l’avais quand je gagnais beaucoup. Le jour où j’ai changé ma Land Rover contre une Méhari, les réparations coûteuses ne m’ont plus causé de soucis. Comment peut-on avoir peur de manquer alors qu’on est en surconsommation ? C’est fantasmatique. »
En 2003, Hervé repart donc de zéro. Lui le grand sportif veut faire pousser des légumes, user ses forces dans ce qu’il appelle un vrai travail, vivre dans une maison qui ne soit pas en béton. Son pécule s’élève à 70 000 euros. Les prix du foncier le poussent dans la haute vallée de l’Aude, où il rencontre Dirk, charpentier écologique. Sa maison sera donc bioclimatique, les murs seront en terre et paille montés sur une ossature en bois. Avec l’aide de Dirk, il la construira de ses mains à raison de douze heures de travail par jour pendant sept mois durant lesquels il logera dans une caravane.
Trois stères de bois et deux bouteilles de gaz par an
La norme électrique NFC 15-100 lui cause des soucis : elle lui impose 27 prises quand il a chiffré ses besoins à 12, « un racket organisé » selon lui, les normes étant conçues par les fabricants de matériaux. Renseignements pris, il ne s’agit en fait que d’une intimidation, EDF ne pouvant lui refuser son branchement au réseau. Le découragement le guette parfois, notamment lorsqu’il s’aperçoit que la réalisation des enduits n’a pas été budgétée et qu’il doit les faire seul, un travail long et très physique qui lui semble écrasant. Un moment qu’Hervé qualifie d’« initiatique ». « Si j’avais employé quelqu’un pour les réaliser, à quoi aurais-je utilisé mon temps ainsi libéré ? À marcher, courir pour entretenir ma forme ? Et j’aurais été obligé de m’employer quelque part pour payer mon remplaçant. » En 2007, il publie avec succès Éloge de la simplicité volontaire (Flammarion). Mais des aléas amoureux l’obligent à vendre en 2010. Le thermicien qui procède au bilan énergétique de sa maison la classe dans la catégorie « médiocre ». Pourtant, quand il fait moins 5 degrés dehors, il fait 22 à l’intérieur sans aucun apport de chauffage, grâce à la réactivité de la dalle en terre qui restitue la chaleur emmagasinée au moindre rayon de soleil. Une maison perspirante grâce à la terre qui absorbe le surplus d’humidité et la rend en cas de sécheresse… Mais il n’existe pas, dans la fiche informatique du technicien, de mention « paille » à la rubrique des matériaux…
Hervé veut continuer son travail d’exploration, mais cette fois-ci pas en solitaire. En tapant « habitat groupé » sur Google, il tombe sur l’annonce de la mairie de Saint-Étienne-de-Serre qui cherche les futurs habitants de l’éco-hameau de Cintenat. Un moyen pour la commune de repeupler son école tout en respectant son patrimoine paysager. Sa nouvelle maison de 80 mètres habitables lui a coûté 65 000 euros, le terrain de 800 mètres carrés, 5 000 euros, auxquels se sont ajoutés 13 000 euros pour la viabilité et l’enterrement de la ligne EDF. Hervé vit aujourd’hui avec 800 euros par mois. Ses trois stères de bois annuels lui reviennent à 150 euros, ses deux bouteilles de gaz pour la cuisinière, à 60 euros, toujours pour l’année, l’eau (de source), à 100 euros, l’électricité, à 120 euros. Il compte bien faire baisser ce dernier poste en posant un thermosiphon à l’énergie solaire. Sa petite Dacia Sandero roule au GPL et lui revient à 35 centimes le kilomètre, à raison de 5 000 kilomètres par an. Il paie 2 euros par mois ses deux heures de communication téléphonique grâce à Free. Ce qui lui coûte le plus cher ? Sa connexion internet, 34 euros par mois.
« On est tous libres d’avoir une grosse cylindrée ou pas »
Aux yeux de l’Insee, Hervé vit sous le seuil de pauvreté, fixé à 977 euros. Mais il n’a pas besoin d’argent. « J’en ai trop. » Depuis un an et demi, il touche une retraite de 1 100 euros. Il craint que cela lui pollue l’esprit et que le livre dont il termine l’écriture lui rapporte de l’argent. Son idée serait de se débarrasser de ces moyens supplémentaires en créant un centre d’agriculture expérimental doublé d’un centre de qualité relationnelle. « Les deux sont liés. Il n’y a pas d’écologie s’il n’y a pas d’écologie intérieure. Il faut être bien dans sa tête, sinon ça ne marche pas, être en paix d’abord avec soi, puis avec les autres. » Depuis peu il expérimente avec un voisin la permaculture, une forme d’agriculture qui permet à la terre de se régénérer sans engrais chimiques.
Et la décroissance comme concept économique, qu’en dit-il aujourd’hui ? Il n’y croit plus. « Ce n’est pas tenable, on vit dans une société de croissance, dans un groupement de pays liés les uns aux autres… C’est un concept purement pédagogique. » Ses velléités de prosélyte se sont calmées aussi. « Il n’y a qu’une chose qui est possible : Sois le changement que tu veux voir dans le monde, le précepte de Gandhi. On est tous libres d’avoir une grosse cylindrée ou pas. La seule limite est celle au-dessous de laquelle on n’est pas prêt à aller. »
Hervé est en harmonie avec ce qu’il vit. « Je suis responsable du monde que je crée, si je fais des erreurs, je les répare, je n’en rends pas les autres comptables. » S’être débarrassé de soucis créés de toutes pièces « a agrandi [sa conscience] ». « Le spirituel se lève naturellement quand nous nous débarrassons de ce qui entrave sa libre expansion. » Quand il avait 25 ans et qu’il enseignait les arts martiaux, Hervé voulait plus tard devenir un sage. À 67 ans, peut-être la sagesse l’a-t-elle enfin rattrapé.
Article de Alix Ratouis, Le Point, Aout 2015
ET SI VOUS VOUS FAISIEZ PLAISIR !!!
Devenez formateur et ambassadeur du mieux-être en milieu professionnel !
- Vous vous posez des questions quant à votre avenir professionnel, vous aimeriez évoluer…
- Vous avez envie de vous investir dans l’humain et de passer le cap pour être formateur…
- Vous aimeriez être indépendant professionnellement, tout en appartenant à un réseau de partage dynamique…
… Le monde a besoin d’Ambassadeurs du mieux-être !
Pourquoi rencontrons-nous tant d’adversité dans nos vies ?
- Parce que le monde évolue de plus en plus vite et bouleverse nos fonctionnements.
- Parce que notre culture est imprégnée de la binarité « bon » ou « mauvais », laquelle nous étouffe toujours plus, au point de nous faire perdre confiance.
- Parce que, malgré toutes les formes de réseaux, nous demeurons chaque jour un peu plus isolés. Nos chemins sont de plus en plus individuels.
- Parce que, dans ce contexte, exprimer une émotion, partager une difficulté ou un doute est assimilé à la faiblesse d’une personne fragile…
Pour contrarier ces convictions limitantes…
… Le monde a besoin d’Ambassadeurs du mieux-être !
et
vous propose une formation complète
à partir de Janvier 2016 !
La certification de Formateur « Ambassadeur du mieux-être » vous propose précisément de vous armer pour :
- Devenir formateur d’un public en projet professionnel (et/ou personnel) par la réalisation d’un réel plan d’action, avec une certification à la clé.
- D’accompagner des artisans et professionnels indépendants qui ont de plus en plus besoin d’être soutenus.
- Maîtriser les points techniques de votre projet (économique, marketing, pédagogie)
- Conforter l’impérieuse nécessité du mieux-être par l’écoute et l’affirmation de soi, la confiance personnelle – Psychologie positive (méditation, respiration, motivation).
- Vous démarquer par votre position sensible, humaine et positive face à la difficulté.
- Capitaliser des forces et de l’énergie pour votre propre sérénité
Cette formation contribuera également à consolider votre propre projet professionnel d’accompagnant.
Que vous soyez salarié, professionnel du bien-être, en reconversion…?
Cette certification peut être le tremplin pour une nouvelle carrière.
Prenez connaissance de tout le programme ICI
et inscrivez-vous dès MAINTENANT
Références
Je change de cap ! curieuse |
A propos Contact |
S’abonner à la newsletter
Conditions d’utilisation
Se désinscrire© 2015 ïJe Change de cap & Curieuse Agence ï Pollen-Scop ï Aubenas, France