Newsletter 34 : Vos 10 résolutions pour la rentrée
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Vos 10 résolutions pour la rentrée
Qu’est-ce que le coaching manager ?
(avec une offre valable jusqu’au 30/09/2015)
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Quelles sont vos 10 résolutions
pour reprendre le travail ?
Comme chaque été, vous avez passé vos vacances à répondre à quelques mails du boulot et à préparer quelques dossiers afin de ne pas être trop débordé(e) au moment de la reprise. Peut-être même avez-vous débusquer de nouveaux projets à mettre en oeuvre… Vous êtes de plus en plus nombreux à avoir du mal à décrocher durant les vacances… ce qui agace régulièrement votre conjoint(e) et vos enfants car finalement, la rentrée ne diffère guère du reste de l’année. C’est pourtant la période idéale pour faire le point sur sa vie professionnelle et prendre de bonnes résolutions. Une ou deux suffisent. Au-delà, le naturel revient au galop…
1 – Je reprends en douceur
Le soleil de Corfou vous a regonflé le moral ? Fort bien. Reste à conserver quelques semaines le bénéfice de ces quinze jours de farniente. En évitant, par exemple, le coup de stress du dimanche soir, au retour de l’aéroport. Dans la mesure du possible, mieux vaut utiliser le lundi comme sas de décompression et se remettre au travail le mardi. Une journée en roue libre pour retrouver ses marques. Raconter, une fois pour toutes, ses vacances aux collègues. Puis prendre connaissance du courrier, des messages téléphoniques et des 500 courriels qui croupissent dans votre boîte aux lettres. Avec interdiction absolue d’y répondre. « Il faut résister à la tentation et profiter de cet entre-deux pour réfléchir à l’année qui s’annonce, définir ses priorités, repenser son organisation… En somme, tout ce que l’on remet à plus tard quand on a le nez dans le guidon ! Au terme de cette mise en jambes, levez le camp à 18 h 30, quoi qu’il arrive. Et invitez votre moitié au restaurant grec du coin, histoire de vérifier si les souvlakis ont le même goût que là-bas. Le choc du lendemain sera beaucoup moins rude.
2 – Je fais du sport
Deux heures de match, trois jours de courbatures : vos prouesses tennistiques estivales ont laissé des traces. Avant de rechausser vos vieilles baskets, commencez donc par faire un bilan de santé. Les anciens sportifs sont les pires : ils croient pouvoir rééditer du jour au lendemain leurs exploits de jeunesse. Or, à 35 ou 40 ans, le risque d’accident est beaucoup plus élevé qu’à 25. Les conseils pour passer l’hiver en forme ? Se dépenser en famille (rollers, VTT, randonnée). Planifier ses sorties à l’avance, sur un trimestre. Et chercher le plaisir dans l’effort. La danse, les arts martiaux ou le golf sont des activités intéressantes, qui permettent de progresser sans solliciter outre mesure son organisme. Comptez trois heures par semaine, week-end compris. Sans forcer la dose. « Une séance de fitness normale s’effectue à 60 ou 70% de sa capacité cardiaque maximale», indique Patrick Rizzo, directeur du marketing de la chaîne Club Med Gym, qui enregistre en septembre et en octobre plus du quart de ses inscriptions annuelles. « Au bout de trois mois, assure ce sportif accompli, les résultats sont tangibles. » Et aussitôt effacés par les excès des fêtes de Noël. Heureusement, la nouvelle année démarre. Avec son lot de bonnes résolutions…
3 – Je prends du recul
Au moment des vacances d’hiver, Albert Loridan s’était offert deux semaines de plongée en Thaïlande. Une première pour ce bourreau de travail. « De là-bas, j’ai envoyé un courriel à mes collaborateurs, qui disait en substance : J’y suis, j’y reste… Ils sont tombés des nues », racontait, hilare, le PDG de Micromania, importante chaîne de magasins spécialisés dans les jeux vidéo. L’homme est finalement rentré à Sophia-Antipolis (Alpes-Maritimes), au siège de l’entreprise qu’il a fondée en 1989. Une surprise l’attendait : l’activité ne s’était pas effondrée en son absence ! « J’ai toujours été sur le dos de mes collaborateurs, avoue-t-il. Une demi-douzaine d’entre eux me sont restés fidèles et je peux aujourd’hui compter sur eux. Il est temps que je me détache de la gestion quotidienne. » Une décision plutôt rare dans le milieu dirigeant. Beaucoup de managers refusent de déléguer parce qu’ils vivent dans le fantasme de la surpuissance. Le réveil est parfois douloureux. Surtout quand il a lieu sur un lit d’hôpital, à la suite d’un infarctus…
4 – J’arrête de fumer
Plus de 60 000 morts par an. 1 décès sur 3 chez les hommes de 35 à 69 ans. Huit ans d’espérance de vie en moins. Le tabac continue de tuer. « Mais, depuis peu, la société, dans son ensemble, a décidé de ne plus fumer », se félicite le Pr Bertrand Dautzenberg, pneumologue à la Pitié-Salpêtrière, à Paris, et président de l’Office français de prévention du tabagisme. Pour preuve, la consommation de substituts nicotiniques – dont il serait bon d’envisager enfin le remboursement… – a plus que doublé en quatre ans. Le nombre de fumeurs suivant une consultation en tabacologie augmente toujours. Quant aux entreprises, elles ne cessent d’appliquer, sous la pression des non-fumeurs, les directives de la loi Evin. Pour mémoire, l’employeur n’est absolument pas tenu d’aménager une zone pour fumeurs. Et la cigarette est interdite dans un bureau fermé dès qu’un non-fumeur y pénètre. Pour toutes ces raisons, et bien d’autres, c’est le moment d’arrêter. Ou d’essayer, puisqu’il faut en moyenne trois tentatives avant de décrocher. Plus qu’une question de volonté, le succès du sevrage repose d’abord sur une série de recettes: se fixer une date-butoir précise, tenir un journal de bord, quitter immédiatement la table après les repas… Les brochures éditées par l’Institut de médecine sociale et préventive de l’université de Genève et disponibles gratuitement sur l’excellent site Stop-tabac.ch fourmillent de conseils en ce sens. « Le Zyban, les patchs, les gommes à mâcher et autres sont sans danger pour la santé et multiplient par 2 les chances de réussite », martèle le Pr Dautzenberg, qui se chargeait de désintoxiquer les services du contre-espionnage français. Si même les barbouzes s’y mettent…
5 – Je m’occupe de mes enfants
Pour 85% des cadres, la famille passe avant tout. Le travail, lui, arrive loin derrière (38%). Un choix de vie qu’Arnaud Doré fait sien à cent pour cent. Comme près de 250 000 salariés l’an dernier, il vient de prendre un congé de paternité. De la durée maximale autorisée par la loi (onze jours). Et ce malgré une perte de salaire sensible. « Tous mes collègues le font, c’est entré dans les murs », relève ce courtier en Bourse chez Natexis Bleichroeder. Une manière pour lui de signifier à sa tendre épouse, cadre sup chez Bouygues Télécom, que les premiers pas de leur fille passent avant les soubresauts des marchés financiers. L’intéressé ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. « Je vais rentrer plus tôt à la maison pour voir grandir ma petite, promet-il. Mon défi ? Gagner une demi-heure. » Calqué sur les horaires de la Bourse (9 heures-17 h 30), son emploi du temps ne lui laisse guère de latitude. Sauf à écourter certaines réunions après la clôture. Ou à supprimer une vieille habitude. « Les soirs de stress, je me défoule sur un jeu débile dans un cybercafé avant de rentrer à la maison », confesse-t-il. Game over ? « Non. Désormais, je jouerai chez moi… »
6 – J’élargis ma palette
C’est un fait : le marché de l’emploi reste maussade et n’incite guère à aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte. De là à ronronner dans son job, il y a un pas, que Marion Lecomte s’est refusée à franchir. Embauchée après son MBA, en 1999, par la direction internationale du cabinet d’avocats Fidal, cette consultante se spécialise en knowledge management (KM). En bon français, il s’agit du partage des connaissances : chaque collaborateur accède, via intranet notamment, aux expériences et aux meilleures pratiques des autres. Une idée formidable, mais coûteuse techniquement. Et moins prioritaire dans la conjoncture actuelle. « Aujourd’hui, dans les métiers du conseil, on cherche surtout à gagner des clients », observe la jeune femme. Pour éviter d’être mise sur la touche, l’ancienne élève de l’Institut commercial de Nancy a elle-même proposé à son chef de revoir les contours de sa mission. « En parcourant la presse professionnelle, je me suis rendue compte que le KM devenait un véritable argument de vente en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, explique-t-elle. J’ai lu tous les bouquins que j’ai pu trouver sur le sujet et coordonné, à mes heures perdues, la réalisation d’une plaquette présentant les atouts du cabinet et notamment la richesse de notre base de connaissances. » Une initiative appréciée en haut lieu, qui lui a valu ses premiers galons de « marketeuse ». Reste à transformer l’essai. « J’ai poussé une porte, conclut Marion Lecomte. A moi de l’ouvrir en grand. »
7 – Je révise mon anglais
Ces vacances à Malte ont révélé vos lacunes dans la langue de Shakespeare ? Il est temps de vous remettre à niveau. Sans fausse pudeur. Car, même si votre CV porte la mention « bilingue » – comme celui de tout le monde… – la réalité est certainement moins rose. A l’heure où plus de 60% des salariés des entreprises du CAC 40 travaillent hors de France, l’aisance en anglais n’est plus un atout, c’est une obligation. Au dire de Steve Antalis, directeur de l’activité entreprises au Wall Street Institute, qui forme les cadres de Suez, d’Air liquide ou de Schlumberger, les Français traînent un niveau moyen de « faux débutants »: « Ils recherchent trop la perfection. Du coup, ils s’abstiennent de parler en public, par crainte de ne pas être à la hauteur, et perdent leurs acquis. » Avant de suivre un cours pointu en anglais appliqué aux forces de vente, assurez-vous de maîtriser les bases de la conversation courante. Et oubliez votre – mauvais – accent. « Dans le monde des affaires, il importe peu de parler comme un Oxfordien. Le but est de se faire comprendre de tous ses interlocuteurs, anglo-saxons ou non », avertit Steve Antalis. Il paraît même que la French touch est charming. Ce serait dommage de s’en priver…
8 – Je pars bosser à l’étranger
Il rêvait d’Argentine. Ce sera le Luxembourg. Une mission de six mois dans une banque. Stéphane Duzan a accepté l’offre début juillet, en attendant mieux. « Je ne pouvais pas refuser : les occasions de bouger sont trop rares », explique ce consultant du cabinet Accenture, spécialiste de PeopleSoft, un progiciel de gestion des ressources humaines. Jeune – 28 ans – célibataire, mobile : il aimerait vite repartir « pour découvrir des environnements de travail différents ». Le hic ? Chez « Axe », comme ailleurs, mobilité rime la plupart du temps avec ancienneté. Seuls les experts bougent. Quand le devient-on ? A 33-35 ans. L’âge, précisément, où l’on rêve de se poser en famille. Cherchez l’erreur… « Le seul moyen de partir à l’étranger, c’est d’être expert avant l’heure », résume Jan Klasinski, 28 ans, qui s’y emploie. Depuis deux mois, ce financier de Lever Fabergé, diplômé de l’ESCP-EAP, prépare le Chartered Financial Analyst (CFA). Son objectif ? Décrocher en décembre le premier niveau de ce certificat d’analyste reconnu dans le monde entier. Un atout de plus pour ce candidat au voyage. « Ce diplôme me serait fort utile pour mener des audits au sein des filiales du groupe Unilever en Europe du Sud et de l’Est », estime-t-il. Au menu, des missions courtes – de trois à six semaines – ponctuées de retours au siège parisien et compatibles avec une vie de famille. Une expatriation « soft », en somme. Qui se mérite.
9 – Je surveille ma ligne
Capitons, bedaine, mollets flasques… Le verdict de la plage était sans appel. La faute aux déjeuners de travail interminables. Ou au poulet-frites de la cantine. Pas de panique. Les kilos du boulot ne sont en rien une fatalité. Prenez Bertrand Flahaut, ingénieur commercial à la Sade, une société de travaux hydrauliques. Il y a quelques années, ce solide gaillard a fondu de 20 kilos en remplaçant les viandes en sauce par du poisson et de la volaille. Cette année, il espère bien en perdre autant. Pour descendre enfin sous la barre des 100 kilos. « C’est une question d’autodiscipline, affirme-t-il. Avec trois déjeuners clients par semaine, je dois me surveiller. » Exit l’apéro, place au Coca Light. Et tant pis si le breuvage allégé colle mal à l’esprit convivial du BTP. « Le plus dur n’est pas de manger sainement, mais de prévoir quand et où je vais manger », ajoute-t-il. Si un rendez-vous impromptu vous oblige à avaler un sandwich, préférez le pain complet au pain blanc et bannissez la charcuterie. Quitte, comme le prône Eve Tiollier, nutritionniste à l’Institut de médecine aérospatiale du service de santé des armées, à s’offrir sur le coup de 16 heures une petite collation : « Un fruit et un fromage frais, pour mieux répartir l’apport énergétique quotidien. Grâce à ce goûter, on ne se rue pas sur les plats au dîner. » A proscrire : les en-cas chocolatés. « Une barre et ça repart ! » vante un fabricant. « Attention, prévient Eve Tiollier, ces sucreries font monter la glycémie en flèche et obligent l’organisme à se défendre. Résultat : au bout d’une heure, une hypoglycémie réactionnelle peut se déclencher, qui altère la vigilance et la concentration. »
10 – Je ne travaille plus le week-end
Comme 14% seulement des dirigeants (et 25% des cadres), Cyril Roger, 39 ans, affirme ne jamais travailler chez lui le soir ni le week-end. Le fruit d’une organisation au cordeau, explique le président du directoire de Segula Technologies (ingénierie et études): « Grâce à notre système informatique, je suis prévenu quasi en temps réel des encaissements et des missions de nos 3 400 collaborateurs disséminés en France. J’appelle une fois par jour les patrons de nos divisions. Je note mes idées dans mon Palm Pilot puis dans des classeurs, que je ressors le jour de notre réunion mensuelle. Entre-temps, je me force à tout oublier. » Si l’amnésie n’est pas votre fort, méditez les conseils du journaliste Yves Daunac pour gagner du temps : définir sous sa douche son objectif de la journée, s’y atteler dès son arrivée au bureau, cesser de « se mettre en train » par des tâches anodines, laisser sonner son téléphone (la messagerie vocale, ça existe…) et, surtout, s’engager auprès de son chef sur des délais raisonnables en y incluant ses congés. Après, il sera trop tard. Et vous pourrez toujours pester sur ce week-end gâché pour cause de dossier urgent à boucler…
Reprise de l’article d’Arnaud Bouillin – L’express/emploi – 2003
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Qu’est-ce que le coaching manager ?
Le Coaching manager est un mode d’accompagnement de l’action vers la performance, qui intègre une progression personnelle vers la maîtrise et l’excellence. Arrêtons-nous un instant sur les termes de cette définition, pour ne pas risquer de passer à côté de sa signification profonde.
Performance, maîtrise et excellence
Dans son sens opérationnel, la performance consiste à atteindre (ou dépasser) des objectifs (si possible : mûrement médités et pertinemment choisis). Pour parvenir à cela, de manière durable et écologique, il faut indubitablement acquérir une maîtrise de soi et de ses gestes professionnels. C’est cette maîtrise opérationnelle qui conduit à l’excellence, entendue dans le double sens d’une plus grande performance extérieure et d’une plus grande maturité intérieure.
Progression personnelle et coaching manager
Le « Maître » d’un art n’est-il pas celui qui, ayant dépassé la technique, sait garder l’esprit du débutant, en cultivant la fraicheur de s’émerveiller à chaque fois, comme si c’était la première fois ? L’excellence, ainsi vécue comme un état de nouveauté permanente et de progression continue, implique donc le manager lui-même intimement : pas d’excellence possible sans remise en question personnelle et travail sur soi. Admettons qu’il puisse s’agir là d’une posture et d’un art de vivre (« Le vrai voyageur découvre que le chemin est plus important que la destination… » – proverbe chinois).
Action et coaching manager
Même si le coaching manager repose sur une philosophie qui pourrait être théorisée, et qui se déclinerait par des méthodes, il reste davantage centré sur l’action, plutôt que sur la théorie, la philosophie, ou même la méthode. L’action et l’expérience concrète sont pour nous les meilleurs des points de repère. Et si nous reconnaissons qu’il est pertinent de « réfléchir » avant d’agir, nous croyons aussi que les actes et la pratique démontrent toujours mieux que les discours et les abstractions.
Accompagnement en coaching manager
« Accompagner » n’est pas à confondre avec « guider » ou « conduire ». Un guide de haute montagne, par exemple, connaît la destination et le chemin, c’est un expert en technique (et il a même souvent une meilleure condition physique que le touriste qu’il guide). En revanche, le Coach-manager n’a pas besoin de savoir où il faut aller, ni par où passer, puisque son rôle ne consiste pas à guider, mais à accompagner le collaborateur expert, qui détient le savoir et les compétences utiles. Il ne privilégie donc pas le style directif depuis une position centrée sur le contenu technique. Comme deux « compagnons », l’expert et le Coach-manager s’accompagnent mutuellement. En effet, c’est dans l’interaction entre le manager plutôt centré sur les questions, et le collaborateur plutôt centré sur les réponses, que vont émerger des ressources de créativité et de coopération, pour inventer ensemble le meilleur chemin vers les solutions.
L’offre de Curieuse Agence :
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Jean LEFEBVRE, votre coach manager
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